Le closing juridique des trois projets éoliens d’EDF Renewables d’une capacité combinée de 420 MW annoncé en Afrique du Sud   

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L’entreprise française d’énergies renouvelables, EDF Renewables a procédé, jeudi 22 septembre 2022 à Pretoria au closing juridique de ses projets éoliens, avec la signature des contrats d’achat d’électricité pour les installations éoliennes de Coleskop, San Kraal et Phezukomoya qui seront construites en Afrique du Sud.

Les trois projets auront une capacité installée de 140 MW chacun. Ils sont situés aux frontières des provinces de l’Eastern Cape et du Northern Cape. L’électricité produite chaque année par les trois parcs éoliens contribuera à satisfaire les besoins en électricité d’environ 193 000 ménages.

En Afrique du Sud, le programme d’approvisionnement des producteurs indépendants d’énergie renouvelable a jusque-là permis d’attribuer plus de 6 000 MW de capacité de production à des soumissionnaires principalement dans les domaines de l’éolien et du solaire.

1,2 % des revenus des projets seront consacrés aux communautés locales, au cours de la période d’exploitation de 20 ans. Les projets se sont engagés également à fournir 2 230 emplois, dont 400 emplois à temps plein pour les citoyens locaux pendant la période de construction.

De l’avis de Tristan de Drouas, PDG d’EDF Renewables en Afrique du Sud, « […] ce projet de 420 MW confirme également nos perspectives à long terme dans le pays, s’ajoutant aux presque 1 GW qu’EDF Renewables développe, construit ou exploite déjà en Afrique du Sud, soutenant les ambitions du gouvernement et les nôtres de développer des solutions énergétiques à faible émission de carbone pour l’avenir ».

Rappelons que ces 3 projets sont les premiers à faire l’objet d’accords signés dans le cadre de la 5ème fenêtre d’appel d’offres du Programme d’approvisionnement des producteurs indépendants d’énergie renouvelable (REIPPPP).

Il s’agit d’un programme d’énergies renouvelables qui vise à apporter des mégawatts supplémentaires au système électrique du pays grâce à des investissements du secteur privé dans l’éolien, la biomasse et les petites centrales hydroélectriques, entre autres.

Moctar FICOU / VivAfrik

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