Lutte contre les changements climatiques la BAD s’implique financièrement
Le président de la Banque africaine de développement Bad, Akinwumi Adesina, a annoncé que son institution compte quasiment tripler le montant des fonds qu’elle alloue chaque année à la lutte contre les changements climatiques, pour le porter à 5 milliards de dollars par an d’ici à 2020, d’après l’agence ecofin. A cet horizon, le budget que consacrera la Bad à la lutte contre le changement climatique représentera 40 % de ses nouveaux investissements.
Perspective Cop21 : le Zimbabwe se dit prêt à se lancer seulement avec des milliards
Le Zimbabwe s’engage, dans le cadre de la Cop21, à réduire de 33% d’ici 2030, ses émissions de dioxyde de carbone. C’est ce qu’a annoncé Oppah Muchinguri-Kashiri, la ministre de l’Environnement, de l’eau et du climat. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement estime avoir besoin de 55 milliards $ d’investissements qui serviront à financer les actions de mitigation. 35 milliards $ supplémentaires seront en outre injectés dans la mise en place de dispositifs d’adaptation aux changements climatiques. Le gouvernement estime également avoir besoin de soutien pour la technologie et le renforcement des capacités que nécessitera la mise en œuvre des actions d’atténuation et d’adaptation. Ainsi selon, l’Agence Ecofin, le pays compte en effet développer les énergies renouvelables et promouvoir l’efficacité énergétique.
Pour réduire leurs vulnérabilités aux changements climatiques les pays pauvres organisent le « V20 »
Le V20 regroupe plusieurs des pays les plus pauvres de la planète et s’inscrit directement en miroir du G20, le groupe des pays les plus riches du monde. Sous la présidence du ministre philippin des Finances César Purisima Ce groupe vient s’ajouter aux autres, très nombreux, qui existent déjà dans le panorama économique et diplomatique mondial : G20, G7, G24, G5+1, …Le V 20 va notamment étudier la création d’un mécanisme unissant le public et le privé pour mutualiser le risque climatique, visant à agir comme un nouveau mécanisme d’assurance contre les désastres climatiques. Le V20 comprend 6 pays africains pour le moment nous source ACTUVERT parcouru par VIVAFRIK.
Congo : un exemple sur la gestion de déchets solides
3ème ville du Congo Brazzaville, avec plus de 100 000 habitants. Un projet d’appui à la définition et la mise en œuvre d’une politique locale concertée de gestion des déchets solides, en partenariat avec la Commune de Dolisie a été mis en exécution. Après un premier quartier test présentant des résultats encourageants, la ville étend ce dispositif dans quatre quartiers supplémentaires. En croire Médiaterre ce projet a mis fin à la multiplication des dépotoirs anarchiques environ 40, obstruction des canaux d’eaux pluviales et rivières, incinérations intempestives, accroissement des cas de paludisme et typhoïde.
Le Botswana connaitrait son pire moment de chaleur : Conséquences climatiques sans doute
Le département des services météorologiques du Botswana a averti que le pays pourrait être affecté par des vagues de chaleur qui peuvent toucher la plupart des régions. Si l’on se fie à Vivafrik directeur de la Météo, Radithupa, a expliqué qu’on parle de vague de chaleur quand les températures sont de 5 degrés au-dessus de la normale.
Il a déclaré en outre que le pays connaîtra des températures supérieures à 39 degrés pendant les prochains jours. De ce fait, invité les gens à porter des chapeaux et à boire beaucoup d’eau pour éviter une déshydratation.car selon lui, ces vagues de chaleur pourraient conduire à d’autres complications.
Terminons avec cette grosse information planétaire.
De l’eau coule bien sur la surface de la planète Mars : scientifiquement prouvé.
C’est l’orbiteur MRO (Mars Reconnaissance Orbiter), lancé en 2005 et chargé d’étudier et de photographier la planète rouge qui été à l’origine de la découverte. Les chercheurs ont analysé les photos de la sonde et ont détecté des stries étroites dans des rochers de la région équatoriale de Mars.Tout porte à penser qu’il s’agit de canaux d’écoulement d’eau, pour les astronomes qui travaillent sur le sujet depuis des décennies, la preuve est suffisante : « notre quête sur Mars a été de ‘suivre l’eau’, dans notre recherche de la vie dans l’Univers, et maintenant nous avons la preuve scientifique qui valide ce que nous avons longtemps soupçonné », déclare John Grunsfeld, astronaute et associé administrateur de missions scientifiques de la NASA Source notre-planete.info depuis une questions que les gens se demande pourrait-on vivre sur la planète Mars ?
Ndéye Fatou Ndiaye / VivAfrik